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Peschard avait soumis une lettre de critique le 15 septembre de la même année (vol. 3, no 57[9]). Cet article est donc considéré par le journal comme le deuxième d'une suite de dix-sept. Les articles se veulent surtout une vulgarisation du processus technique derrière le fonctionnement des orgues électriques. Ce sujet a également fait l'objet d'une correspondance publiée dans le vol. 3, no 57[10]. Pour les autres articles consacrés à l'étude de l'orgue électrique par le même auteur, voir 3e (vol. 4, no 6), 4e (vol. 4, no 8), 5e (vol. 4, no 9), 6e (vol. 4, no 10), 7e (vol. 4, no 12), 8e (vol. 4, no 14), 9e (vol. 4, no 16), 10e (vol. 4, no 19), 11e (vol. 4, no 23), 12e (vol. 4, no 24), 13e (vol. 5, no 2), 14e (vol. 6, no 3), 15e (vol. 5, no 5), 16e (vol. 5, no 8), 17e (vol. 5, no 10), 18e (vol. 11, no 13), 19e (vol. 11, no 15), 20e (vol. 11, no 19). Peschard soumet également une suite d'articles nommée «Nouveaux perfectionnements au système électro-pneumatique des Grandes orgues». Voir 1er (vol. 7, no 24), 2e (vol. 8, no 2), 3e (vol. 8, no 3), 4e (vol. 8, no 4), 5e (vol. 8, no 5), 6e (vol. 8, no 7), 7e (vol. 8, no 8), 8e (vol. 8, no 9), 9e (vol. 8, no 11), 10e (vol. 8, no 12), 11e (vol. 8, no 13). Et enfin avec une suite d'articles nommée «Études sur l'orgue électrique. Réponse à quelques objections». Voir 1er (vol. 9, no 3), 2e (vol. 9, no 4), 3e (vol. 9, no 5), 4e (vol. 9, no 6), 5e (vol. 9, no 7), 6e (vol. 9, no 8), 7e (vol. 9, no 9). |